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2012-02-02T14:51:00+01:00

Host Club – Volume 17 (Panini Manga)

Publié par Cycy la vache de l'espace

Host Club – Volume 17 (Panini Manga)

host-club-17-panini.jpg

 

Je ne commenterais pas une fois de plus, le choix des couleurs de l’éditeur pour les couvertures (et ce malgré un Tamaki sublime… Miam, miam !), je crois que cette fois il a atteint le pompon en matière d’incompétence, en multipliant les incohérences, les fautes d’orthographe et les coquilles dans sa traduction… Principale erreur qui pique les yeux : Kaoru rebaptisé Karoun. Et pourquoi pas Karen Cheryl tant qu’on y est ?!

Heureusement, le manga se sauve par lui-même, grâce au talent de son auteur, Bisco Hatori, qui tisse un scénario d’une qualité remarquable.

Si la première partie du tome semble un peu alourdie par le complot familio-médical qui se referme sur Tamaki, ces explications sont malgré tout nécessaires, afin de permettre à la seconde partie du volume de s’envoler…

Sommet d’émotion, puisque Tamaki, Haruhi et tout leur entourage osent enfin ouvrir les frontières de leurs cœurs pour exprimer ce qu’ils ressentent vraiment. Les déclarations d’amour et d’amitié s’enchaînent à un point que même ce bon vieux Kyoya tombe le masque d’indifférence et sort de ses gonds pour prendre la défense de Tamaki. Et la dernière ligne droite du tome, d’un rythme à couper le souffle, nous entraîne dans une incroyable et pourtant possible course-poursuite à travers Tokyo, où Tamaki et Haruhi, main dans la main et soutenus par tous leurs amis(oui, tous, du plus petit au plus grand, croisé durant les 17 tomes de la saga, répondent présent), se précipitent vers un ciel ouvert sur l’avenir…

Quand on sait qu’il y a tellement de mangas dont le scénario part dans tous les sens avant de s’achever de manière bancale, c’est un vrai plaisir de rencontrer un auteur qui a su respecter sa trame, ses personnages et ses lecteurs, jusqu’au bout…

Enfin, presque… Puisque l’épilogue de cette histoire se trouve au tome 18 !

Mais on peut déjà affirmer, avec cet avant-dernier volume, que Bisco Hatori est une très grande Mangaka, dont la maîtrise de son œuvre incline au respect, et que Host Club restera de manière incontestable un classique du shojo !

Quel dommage, au final, qu’une si bonne série ait à ce point souffert des catastrophes à répétition d’un si mauvais éditeur…

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commentaires
C
Bonjour, <br /> effectivement, moi qui lit enfin cet excellent shôjo, j'ai eu l'impression d'avoir sauté une étape lors des changements des noms des personnages (mais euh, Otomi et Yzeure...)... mon dieu ! et que dire des bulles inversées tout du long des différents volumes... une honte, un travail de sape, et surtout, un correcteur absent ou payé au rabais... les boules ! ça me fait un peu mal, comme à toutes les personnes qui l'ont lu... un beau gâchis ! heureusement que l'histoire est bien mené !
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C
Je pense que tu as parfaitement résumé la situation. Et encore, comme j'ai moi aussi lu la série alors que celle-ci arrivait vers sa fin, je pense être mieux lotie que certains qui l'on suivit dès son arrivée et ont eu à subir des années d'incohérences et d'incompétence au niveau des couvertures, des nom de personnages, des traductions aléatoires etc.... Tout ce que j'espère c'est qu'une fois que Panini aura perdu ses droits d'exploitation de la licence, un autre éditeur récupère le titre pour lui offrir une nouvelle édition digne de ce nom.

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